J'avais envie de parler de mon roman Clara des tempêtes et de vous poster ici le début. Je vais le faire en racontant d'abord comment il est né, en vous présentant ensuite la quatrième de couverture, puis je vous livrerai les premiers chapitres.
Ce roman était au départ destiné aux ados et jeunes adultes, mais depuis sa parution il a été apprécié aussi par des bien plus vieux qui sans doute ont conservé un peu tard leur âme d'ado !
Ça vous dit d'embarquer avec moi pour un beau coin de Méditerranée et d'y découvrir une étrange histoire ?La naissance de Clara des tempêtesClara des tempêtes est né au début de l’été 2008.
Je venais de terminer mon recueil de contes Histoires bleu marine et j’étais parti pour en écrire un second. J’avais une idée : un jeune pêcheur rencontrait en mer un bateau fantôme…
J’ai commencé à écrire. Au bout de quelques essais, mon histoire s’est transformée en toute autre chose. À partir de ce moment là, je n’ai eu qu’à tirer sur le fil comme on déroule une pelote de laine. J’ai écrit dans une brume épaisse. Sans aucune visibilité de ce qui allait advenir à quelques pages de là...
Le titre,
Clara des tempêtes, s’est imposé très vite, bien avant que vienne la fin du roman et la douloureuse séparation d’avec cette aventure dans laquelle j’avais vécu trois mois.
La 4e de couverturePort-Vendres, fin mai 2008. Laura rejoint, au crépuscule, sa crique préférée. Pendant qu’elle se baigne dans l’eau encore fraîche de ce début d’été méditerranéen, apparaît brusquement une magnifique goélette. Rien de plus normal, la baie est un bon abri fréquenté par nombre de navigateurs. Mais quand le fin bateau blanc disparaît comme par enchantement, la jeune fille commence à se poser des questions. D’autant que, chaque soir, le navire revient, au premier éclat du phare.
Accompagnée de son ami Alex, Laura mène l’enquête sur ce voilier fantôme. De découverte en découverte, cette aventure les mènera loin de leur pays catalan, dans l’Argentine de la fin du 19e siècle, où débute une histoire d’amour plus forte que le temps et la mort.
Daniel Pagés est né dans la vallée du Gijou, en Haut Languedoc.
Successivement éducateur de jeunes en difficultés, paysan et skipper professionnel de voiliers, Il accompagne, plusieurs mois par an, des enfants dans la découverte du milieu marin sur l’île d’Oléron, en Corse ou ailleurs.
Pour lui, l’océan, ses habitants et ses voyageurs, mythiques ou réels, sont une éternelle source d’histoires, comme celle qu’il nous conte dans ce roman sensible et attachant.
À lire sans modération de 10 à 110 ans !